Dans le métro de New York ce mois-ci, le poème que l'on peut lire est de Verlaine, en français:
Chanson d'automne
Les sanglots longs Des violons De l'automne
Blessent mon coeur D'une langueur Monotone.
Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure,
Je me souviens Des jours anciens Et je pleure,
Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte
Deçà, delà Pareil à la Feuille morte.
Chanson d'automne
Les sanglots longs Des violons De l'automne
Blessent mon coeur D'une langueur Monotone.
Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure,
Je me souviens Des jours anciens Et je pleure,
Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte
Deçà, delà Pareil à la Feuille morte.
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